PBX

2023
Metallica le 19/05 au Stade de France
Metallica le 17/05 au Stade de France
Yodelice à la Salle Pleyel le 24/03

2022
Cats On Trees (+Emilie Zoé) à l’Espace Jean Marie Poirier A Sucy En Brie le 8/10
La Rue Kétanou au Cabaret Sauvage le 21/07

2019
Laura Cox Band au Trabendo le 04/12
ZZ Top (+Richie Kotzen) à la Seine Musicale le 21/06
Metallica (+Ghost) au Stade de France le 12/05

2018
Laura Cox Band au Réacteur – Issy-Les-Moulineaux le 26/01

2017
Metallica à Bercy le 10/09
Sergent Pepper’s – 50 ans à la Philarmonie le 24/10

2016
The Laura Cox Band à la salle Watteau – Nogent /s Marne le 30/09

2015
PAUL McCARTNEY au Stade de France le 11/06
AC/DC au Stade de France le 23/05
SHAKA PONK au Chorus Festival
BLACK LABEL SOCIETY au Bataclan
LAURA COX à la salle Watteau

2014
THE ACOLYTS au Klub
SLAYER au Zénith
ROBERT PLANT au Bataclan
ROB ZOMBIE au Bataclan
ARCHIE BRONSON OUTFIT au Nouveau Casino

2013
BLACK SABBATH à Bercy
THE BLACK CROWES à la cigale
THE ACOLYTS aux Cariatides

2012
DOWN au Bataclan
THE ACOLYTS à la Miroiterie
THE CULT au Bataclan
MÖTLEY CRÜE au Zénith
METALLICA au Stade de France

2011
AMON AMARTH au Bataclan

2010
THRASHFEST à à l’Elysée-Montmartre
GUNS N’ROSES à Bercy
AC/DC au Stade de France
ARCHIE BRONSON OUTFIT à la Maroquinerie

2009
METALLICA à Bercy
JUDAS PRIEST + MEGADETH + TESTAMENT au Zénith
AC/DC à Bercy

2008
PARADISE LOST au Bataclan
RAGE AGAINST THE MACHINE à Rock en Seine
CAVALERA CONSPIRACY au Bataclan

2007
ICED EARTH à l’Elysée-Montmartre
AEROSMITH à Bercy
THE WHITE STRIPES au Zénith
QUEENS OF THE STONE AGE à l’Elysée-Montmartre
SUICIDAL TENDENCIES à l’Elysée-Montmartre
MASS HYSTERIA au Nouveau Casino

2006
IRON MAIDEN à Bercy
PEARL JAM à Bercy
EAGLES OF DEATH METAL au Trabendo
ARCHIE BRONSON OUTFIT à la Maroquinerie
SOULFLY au Bataclan

2005
NUCLEAR ASSAULT à la Maroquinerie

2004
METALLICA au Parc des princes
W.A.S.P. à l’Elysée-Montmartre
SOULFLY à l’Olympia
DAMAGEPLAN au Trabendo
SKID ROW à la Boule Noire

2003
METALLICA à Bercy
IRON MAIDEN à Bercy
METALLICA Bataclan + Trabendo
SEPULTURA à la Boule Noire

2002
MANOWAR à la Salle Marcel Cerdan
MOTORHEAD au Zénith
ICED EARTH à l’Elysée-Montmartre

2001
TATOO THE PLANET à Bercy
MEGADETH à l’Elysée-Montmartre
AC/DC au Stade de France
SEPULTURA à l’Elysée-Montmartre
FEAR FACTORY à l’Elysée-Montmartre
at the drive-in au Trabendo

2000
AC/DC à Bercy
AC/DC à Amneville
PANTERA au Zénith

1999
RED HOT CHILI PEPPERS à Bercy
IRON MAIDEN à Bercy
EUROCKEENNES de Belfort
METALLICA à Bercy
SYSTEM OF A DOWN à l’Elysée-Montmartre
KISS à Bercy

1998
FEAR FACTORY à l’Elysée-Montmartre
SLAYER + SEPULTURA + SYSTEM OF A DOWN au Zénith
IRON MAIDEN au Zénith
SUICIDAL TENDENCIES à l’Elysée-Montmartre

1997
MACHINE HEAD au Zénith
ALICE COOPER au Bataclan
MEGADETH à l’Elysée-Montmartre
AEROSMITH à Bercy
TRUST au Zénith

1996
KISS au Zénith
SEPULTURA au Zénith
METALLICA à Bercy

Date : 31/03/2003
Lieu : La Boule Noire (Paris)

Setlist
Troops of Doom
Messiah
Slave New World
Propaganda
Spit
Attitude
Choke
Corrupted
Desperate Cry / Biotech is Godzilla
Inner Self / Beneath the Remains
Who Must Die
Mindwar
Refuse/Resist
Territory
Arise
Bullet the Blue Sky
Against
Sepulnation
Revolt
Roots

Groupes : SLAYER + MASS HYSTERIA + CRADLE OF FILTH + BIOHAZARD + X-SYNDICAT + ARTSONIC + PLEYMO + VISION OF DISORDER
Date : 28/09/2001
Lieu : Bercy (PARIS)

Un festival à Bercy, fallait y penser !!! Avec deux scènes l’une à côté de l’autre et du coup pas de temps morts entre les groupes, ce concept était une première pour ma part. A l’affiche pas moins de huit groupes dont à ma grande surprise, une majorité de français.

- VISION OF DISORDER, PLEYMO : Je ne réussis pas à voir ces deux groupes qui commençaient leur prestation en fin d’après-midi.
- ARTSONIC : Le groupe avait débuté son premier morceau quand j’arrivais dans la salle. La musique très heavy, eut du mal à faire bouger la fosse, hostile et peu respectueuse. Seule une reprise très musclée de « The wall » des PINK FLOYD, réussit à faire réagir le public. Le groupe récompensa les premiers rangs en jetant des dizaines de T-Shirt à son effigie.
- X-SYNDICATE : Un groupe de parisiens, composé au 4/5 de parisiennes, inconnu au bataillon, surprit tout le monde à son entrée sur scène. L’effet de sur prise passé, le public reprit ses esprits et le prouva dès la fin du premier morceau en scandant l’inévitable « A poil, à poil… ». Ce groupe me fit penser à L7, un autre groupe au féminin, une musique plutôt punk-speed avec une chanteuse à la voix très aigue à vous stimuler les tympans. Malgré un raté sur le dernier morceau, le groupe avait apporté de l’originalité dans ce festival et m’avait séduit.
- BIOHAZARD : Je n’avais entendu de BIOHAZARD que quelques morceaux, je savais que leur réputation n’était plus à faire. Le public se rua vers les premiers rangs, dès leur entrée en scène. Ce fût le groupe de la soirée, qui mit le feu à la salle. La musique, très puissante, se mariait très bien avec la voix du chanteur. Celui-ci nous expliqua que s’ils étaient restés plus d’une demi-heure, ils auraient pu nous jouer d’autres morceaux. Il gratta alors sur sa guitare l’intro de « Walk » de PANTERA, ce qui transforma la fosse en un véritable ressort électrique. BIOHAZARD quitta la scène aussi déçu que le public, en promettant de revenir en France, jouer plus longtemps.
- CRADLE OF FILTH : Voilà un groupe que j’avais envie de voir, non pas parce que j’étais fan de death metal, mais parce que j’étais très intrigué. Mon opinion sur le death metal se confirma rapidement: Difficile de reconnaître une mélodie sur certains morceaux. Le chanteur/leader du groupe avait une voix à plusieurs tonalités. Il passait du très aigu au très grave sans problème. A part les irréductibles, le public était quelque peu tétanisé devant la prestation du groupe qui, après le succès de BIOHAZARD, refroidit la salle. Deux êtres maléfiques montés sur des échasses vinrent distraire le show sur un morceau interminable. Je ressentis un certain soulagement quand le groupe quitta la scène.
- MASS HYSTERIA : Encore un groupe français, mais celui-là était connu de tous. Venant de sortir son troisième album studio, MASS HYSTERIA avait acquit une certaine notoriété grâce notamment à d’innombrables concerts, mais aussi à sa musique, mélangeant plusieurs styles: Rap, Techno, Trash-Metal. Le groupe commença par « Contraddiction », puis enchaîna avec plusieurs titres du dernier album: « La puissance humaine », « La aventura humana »… Il revigora le public, après le passage de CRADLE, et finit en beauté par un titre du deuxième album « Furia ».
- SLAYER : Tête d’affiche de ce festival, SLAYER se devait de ne décevoir personne, après la sortie d’un album de très bonne qualité « God hates us all ». Le groupe entra sur scène sous les cris de Bercy, et débuta son show par « God hates us all ». Vinrent ensuite les standards que sont devenus, « War ensemble », « Postmorten », « Hell awaits » ou « Dead skin mask », au cours de ces vingt ans de carrière. Tom Araya était ravi d’être là et remerciait très poliment le public à chaque fin de morceau. Celui-ci, qui n’était pas dans une forme olympique, avait du mal à donner autant que le groupe. Les deux guitaristes continuaient à dérouler les riffs et les solos: « Captor of sin », « Mandatory suicide » ou encore « Chemical warfare ». Le groupe ne s’attarda pas sur le dernier album, un second morceaux fut jouer, « Warzone » je crois. Un rappel, conclu par « Angel of death », termina la prestation du groupe que j’avais trouvé plus en osmose avec le public, au zénith en 1998.

Pas évident d’organiser un festival et de satisfaire tout le monde. SLAYER ne fut pas récompensé à sa juste valeur pour deux raisons: la première est qu’après cinq heures de concerts non stop, le public avait beaucoup donné. La seconde est qu’avec les désistements de SEPULTURA et surtout de PANTERA à la dernière minute, les nombreux fans de ces groupes ne connaissaient pas le répertoire de SLAYER sur le bout des doigts. J’espère que cette expérience profitera aux groupes français présents au festival. Un bon point à l’ensemble des groupes et une image pour BIOHAZARD et MASS HYSTERIA

Première partie : HATEBREED
Date : 11/05/2001
Lieu : Elysée-Montmartre (PARIS)

Après deux passages au Zénith, dont un en première partie de Slayer, ce fut à l’Elysée-Monmartre que Sepultura se présenta pour la tournée faisant suite au deuxième album avec Derrick Green, intitulé « Nation ». Le changement de salle correspondait à une baisse de popularité du groupe depuis le départ de Max Cavalera en 1997.

Une chaleur de plomb s’était abattu sur la capitale en ce 11 mai. Elle envahit rapidement la salle ainsi que la scène lorsque Hatebreed, arriva pour ouvrir le show. Ne connaissant que la pochette du CD et les T-Shirt du groupe aperçus au Merchandising, je fus agréablement surpris par la musique. En effet, dans un style très en vogue: Trash/Rap/Neo-Metal, Hatebreed fît monter la température de quelques degrés, assurant près d’une dizaine de morceaux et mettant le feu à un public conquis. Hatebreed laissa la salle à point.
L’entracte fut rapide et rien qu’à voir la batterie d’Igor et les essais des roadies, je sentis qu’il allait se passer quelque chose.

Sepultura entra en scène dans la pénombre et la fumée, sous un drapeau à l’effigie de leur dernier album et entama son show à ma grande surprise (je m’attendais à « Sepulnation »), par un pur classique: »Troops of doom ». Je remarquais tout de suite, que Derrick avait pris plus d’importance que lors de la tournée précédente. D’une part il communiquait avec le public, et d’autre part la SetList étant accès sur le dernier album, il était plus à l’aise pour interpréter les titres auxquels il avait participé en studio: « Sepulnation », « Revolt », « Who Must Die? » ou bien « Choke » issu d’ »Against ».
Le public, quant à lui, avait été piqué au vif dés le premier morceaux et connaissait déjà les titres du dernier album. Mais il faut bien se dire qu’une grande partie du public était des fans de la première heure et que le meilleur moment du concert intervient avec une série d’anthologie: »Beneath The Remains », « Refuse/Resist », « Territory », « Arise » et « Dead Embryonic Cells » pour conclure le show. Le groupe se devant de jouer « Roots, bloody roots » revint pour l’interpréter dans un final en apothéose.

Je sortais de ce concert en transe, en me disant que Sepultura avait su effacer le départ de Max et que le groupe n’était pas prêt de capituler.

Setlist
Valtio
Troops Of Doom
Slave New World
Sepulnation
Revolt
Propaganda
Who Must Die?
Choke
Spit
Attitude
Border Wars
Biotech Is Godzilla
One Man Army
Saga
Beneath The Remains/Inner Self
Refuse/Resist
Territory
Arise
Dead Embryonic Cells

Tribus
Human Cause
Roots Bloody Roots

Première partie : SPINESHANK + KILGORE
Date : 12/12/1998
Lieu : Elysée-Montmartre (PARIS)

Suite à 2 très bons albums, dont le petit dernier « Obsolete », Fear Factory passait à Paris en cette fin d’année 1998.

Deux groupes ouvraient le bal. Tout d’abord KILGORE peu connu, jouant une musique très soutenue, qui réussi à faire bouger la salle. Ensuite entra en scène SPINESHANK, groupe plus renommé, grâce notamment au soutient apporté par Sepultura et Fear Factory. Excusez du peu !!!
Le groupe, très influencé par ces derniers, nous délivra un set très correct et très puissant, le chanteur, d’origine asiatique avait une voix aiguë qui contrastait avec les tempos lourds des morceaux. Parmi ceux-ci, je réussis à reconnaître une reprise de « While my guitar gently weeps » des Beatles.
Ce fût le tour de Fear Factory. La scène représentait l’idéologie du dernier album: colonnes vertébrales en plastique accrochées aux micros et à la batterie. Une vague envahit la salle dès les premières notes de « Shock » du dernier album. Les deux fortes personnalités du groupe ressortirent dès les premiers morceaux à savoir le chanteur Burton C. Bell à la voix exceptionnelle et l’imposant Dino Cazares assurant toutes les parties de guitare.
Les morceaux se combinaient à merveille : « Self bias resistor », « Edgecrusher », « Smasher/Devourer » (mon préféré) ou encore « Zero signal ». Le public bien échaudé par les 2 premiers groupes, était en extase. On reconnut les fans de la première époque lorsque Burton annonça « Martyr », un titre du premier album que je ne connaissais pas, très bon. Retour à l’album du succès « Demanufacture », dont les morceaux sont devenus des classiques du répertoire de Fear Factory: « New breed », « Dog day sunrise » ou encore « Replica ».

Le show dura environ 80 minutes, et me prouva que Fear Factory était aussi bon sur scène qu’en studio.

Photos

Première partie : SEPULTURA + SYSTEM OF A DOWN
Date : 10/11/1998
Lieu : Zénith (PARIS)

Slayer et Sepultura. Quelle affiche en ce mois de novembre 1998 ! Deux monstres sacrés du trash. Ceux qui ont inventé le style au début des années 80, et ceux qui l’ont fait perdurer une décennie plus tard. Je m’installais au premier rang, un peu trop sur le côté à mon goût, et attendais que le spectacle commence.

Il y avait en ouverture du show, un groupe inconnu au bataillon, System Of A Down. Je compris rapidement qu’il n’allait pas le rester longtemps. Les membres du groupe avaient un look assez exubérant et jouaient une musique détonante. Le public fut du même avis que moi, et remua dans tous les sens au rythme de morceaux comme « War ? »ou « Sugar ». C’était la première fois qu’une première partie me fît une telle impression. Inutile de vous dire que je m’empressais d’acheter leur premier album quelques jours plus tard.
Sepultura entra en scène avec obligation de se donner à fond. La chose n’était pas évidente, car depuis leur dernier passage sur cette scène, Max Cavalera avait quitté le groupe et avait été remplacé par Derrick Green, un grand costaud noir américain. « Choke » du nouvel album, ouvrit le show. Ce morceau très puissant nous permis d’admirer le bel organe du remplaçant de Max au chant (uniquement, Derrick ne tenant pas de manche de guitare). Bizarrement c’est Andreas qui prenait la parole pour nous présenter les morceaux, retraçant le parcours du groupe : « Troops of doom », « Escape to the void », « Inner self », « Refuse/Resist » ou l’inévitable « Roots ». Le show fût excellent même si l’ombre de Max plana pendant une heure au-dessus de Paris ce soir là.
Au tour de Slayer, la tête d’affiche, de prendre la scène d’assaut. Le public était à point. Le groupe entra sur scène dans une épaisse brume artificielle, sous un brouhaha général. »Bitter Peace » et « Evil has no boundaries » démarrèrent le show à 200 à l’heure. J’avais un pris un peu de recul, pour mieux apprécier la puissance dégagée sur scène. Le public répondait au coup par coup : »War ensemble », « Rainning blood », « Die by sword ». Tom Araya défilait les morceaux de sa voix aiguë en tapant sur sa basse comme une batterie. Les deux guitaristes fidèles au poste, Kerry King et Jeff Hanneman, assuraient les riffs légendaires des années 80 : »Captor of sin », « Dead skin mask », « Chemical warfare ». Les extraits du dernier album « Diabolous In Musica » s’intégraient parfaitement parmi tous ces classiques. Le show se termina par l’incontournable »Angel of death »qui mit le feu au 19éme arrondissement tout entier.

Des shows comme celui-là, on en redemande.

Setlist
Bitter Peace
Evil Has No Boundaries
Hell Awaits
War Ensemble
Stain Of Mind
South Of Heaven
Raining Blood
Dittohead
Gemini
Die By The Sword
Captor Of Sin
In The Name Of God
Scrum
Dead Skin Mask
Seasons In The Abyss
Chemical Warfare
Mandatory Suicide
Angel Of Death

Photos

Slayer

Sepultura

System Of A Down

Première partie : ???
Date : 02/12/1996
Lieu : Zénith (PARIS)

Ayant vu de nombreuses images de KISS sur scène de la période 75/80 et m’étant repassé le ALIVE 2 jusqu’à en user les sillons, j’étais très enthousiaste lorsque j’ai appris que la formation d’origine du groupe ressortais sa trousse de maquillages et passais à Paris pour un soir, 10 jours après Sepultura.
Arrivé au milieu de la première partie, l’hotesse me mena à ma place numérotée où J’écoutais patiemment que ce groupe style Pearl Jam / Nirvana termine son oeuvre, assis sur mon stapontin.

Après l’entracte, lorsque les lumières s’eteignèrent, le public se leva d’un seul bond pour fixer ce drap blanc tendu au devant de la scène. Quand il tomba sous les premières notes de « Deuce », un vent de folie envahit le Zénith.
Ils étaient tous là comme je les imaginais. Gene et ses chaussures de Drag Queen, Paul et son oeil étolié, Ace et sa guitare flamboyante, et Peter planqué derrière sa batterie sans oublié le fameux logo du groupe clignotant comme un néon des années 70. En ne faisant aucune allusion à la période démaquillée, les grands standarts défilent sans temps mort, «Cold Gin», « Love Gun », « Caling Dr Love », « Watchin’ You » et bien sûr « I was made for loving you », le seul hit du groupe ayant réussi à traverser l’atlantique. Chaque membre du groupe eut droit à son moment intime avec le public. Ace Frehley tranformant sa guitare en lance fusée, Peter Criss chantant le fameux « Beth », Paul Stanley jetant des roses au public. Quand à Gene Simmons, après avoir vomis son sang, il fut élévé vers les cieux pour un « God of Thunder » mémorable.
Sous les « We want Kiss » de traditions, ils revinrent exécuter « Black Diamond » et « Detroy Rock City ».

Je savais à quoi m’attendre et je n’ai pas été déçu. Ca y est je l’avais eu mon concert de KISS au milieu des années 70.

Setlist
Deuce
King Of The Night Time World
Do You Love Me
Calling Dr Love
Cold Gin
Christine Sixteen
Love Gun
Shout It Out Loud
Watchin’ You
Firehouse
2,000 Man
Strutter
Shock Me
Rock Bottom
God Of Thunder
New York Groove
Let Me Go, Rock And Roll
Rock And Roll All Nite
Beth

Detroit Rock City
Black Diamond

Photos

Première partie : STRIFE + FLOODGATE
Date : 21/11/1996
Lieu : Zénith (PARIS)

En m’approchant du Zénith ce soir là, j’entendis à travers la nuit froide de cette fin novembre, une horde surchauffé scandant le célèbre «CRS enculés, CRS enculés…». Même si cet hymne national n’a jamais été repris par Sepultura, j’étais certain d’être dans la bonne direction. Une fois à l’intérieur, j’assistais à la représentation des deux premières parties que je ne connaissais pas, et que j’ai eu du mal à apprécier vu le son moyen et le style death metal dont je ne suis pas un grand fan. STRIFE plus connu que FOOLDGATE méritait peut-être une meilleure attention.

Enfin Max et sa bande entrèrent en scène. L’ambiance, montée petit à petit, explosa dès les premières notes de Roots. Ensuite les titres s’enchaînèrent « Territory », « Attitude » (Max vert de rage jeta à la foule son Berimbeau qu’il venait de casser ), « Arise », « Chaos A.D. » ou encore « Refuse/Resist » sans oublier les classiques des premiers albums « Necromancer » ou « Escape to the void ». On eu droit à un moment grandiose lorsque pour « Ratamahata », une rangée de djembe fut installée sur la scène. Ils résonnaient dans la salle comme dans la Jungle amazonienne. Le groupe revint au complet suite à la demande de la foule qui avait tronqué le slogan d’avant concert par l’inévitable «SEPULTURA, SEPULTURA…». Le show se termina par une série de morceaux devenus incontournable comme « Inner self » ou « Orgasmatron ».

Ce concert me fit bourdonner l’oreille droite pendant trois jours, et reste le plus violent de ma jeune vie.

Setlist
Intro (Itsari)
Roots Bloody Roots
Spit
Territory
Attitude
Breed apart
Desperate cry
Escape to the void
Necromancer
Slave New World
Propaganda
Arise / Dead Embryonic Cells
Beneath the Remains
Chaos B.C. / Refuse/Resist
Biotech is Godzilla
Anticop
Ratamahatta / Kaiowas
Straighthate
We who are not as others
Cut-Throat
Dictatorshit

Inner Self
Endangered Species

??? (un morceau de Discharge)
Hear nothing, See nothing, Say nothing
Policia
Orgasmatron

Photos