Première partie : Uncle Acid & the Deadbeats Date : 02/12/2013 Lieu : Bercy (PARIS)
Pas peu fier d’ajouter Black Sabbath sur mon CV, surtout avec un show comme celui-là: très bon son, les écrans géants superbement intégrés dans le décor pour une fois, Ozzy à jeun (nan je deconne), des musiciens d’exception avec un batteur de feu (ex RATM) et une setlist grandiose, les morceaux du dernier album (13) s’intégrant parfaitement avec les anciens. Bref Magique !
Setlist
War Pigs
Into the Void
Under the Sun/Every Day Comes and Goes
Snowblind
Age of Reason
Black Sabbath
Behind the Wall of Sleep
N.I.B.
End of the Beginning
Fairies Wear Boots
Rat Salad
Iron Man
God Is Dead?
Dirty Women
Children of the Grave
Premier concert à la cigale me concernant où on sort forcément avec la banane, de bons riff, du bon rock tout simplement et des moments d’antologie comme le medley Hard to Handle/Hush, je n’ai rien vu venir, ou bien ce vrai rappel avec la reprise de Jumpin’ Jack Flash. Groupe en grande forme, à voir absolument.
Setlist
jealous Again
Thick N’ Thin
Hotel Illness
Black Moon Creeping
Peace Anyway
Medicated Goo
Ballad in Urgency
Wiser Time
She Talks To Angels
Downtown Money Waster
Soul Singing
Remedy
Thorn in My Pride
Première partie : SLASH + KILLING MACHINE Date : 18/06/2010 Lieu : Stade de France (PARIS)
Ce concert en quelques mots : tout simplement énorme, pas vu le premier groupe (apparement on a rien raté), les frissons étaient là pendant les reprises des Guns par Slash toute ma jeunesse, et que dire de ce show d’AC/DC qui est passé à une vitesse fulgurante, moment mémorable sur The Jack. Coming soon please !
Big Up to Mrs C, the 2 Mr C, Mr D and mister flash of lightining.
Slash’s Setlist
Ghost
Back From Cali
Nightrain (Guns N’ Roses cover)
Rocket Queen (Guns N’ Roses cover)
Sucker Train Blues (Velvet Revolver cover)
Starlight
By The Sword
Civil War (Guns N’ Roses cover)
Slither (Velvet Revolver cover)
Sweet Child O’ Mine (Guns N’ Roses cover)
Paradise City
Vidéo de Civil War
Setlist
Rock N’ Roll Train
Hell Ain’t A Bad Place To Be
Back In Black
Big Jack
Dirty Deeds Done Dirt Cheap
Shot Down in Flames
Thunderstruck
Black Ice
The Jack
Hells Bells
Shoot To Thrill
War Machine
High Voltage
You Shook Me All Night Long
T.N.T.
Whole Lotta Rosie
Let There Be Rock
Highway To Hell
For Those About To Rock (We Salute You)
Première partie : Mix Master Mike + Lostprophets + Blood Red Shoes Date : 20/08/2008 Lieu : Festival Rock en Seine – Parc de Saint Cloud (92)
Arrivée de RATM sur scène, qui rappelle qu’il se passe des choses gravissimes sur terre, notamment à Guantanamo
Setlist
Testify
Bulls in Parade
People of the Sun
Bombtrack
Know Your Enemy
Bullet in The Head
Born of Broken Man
Renegades of Funk
Guerilla Radio
Down Rodeo
Calm Like a Bomb
Sleep Now in the Fire
War Within a Breath
Date : 11/06/2003 Lieu : Bataclan (18H) + Trabendo (22H)
Evénement exceptionnel en ce 11 juin 2003, Metallica, à l’occasion de la sortie de son nouvel album « St Anger », avait décidé de faire trois concerts le même jour dans la même ville. Par bonheur la ville choisie fut Paris. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, je réussi à me procurer des places pour le Trabendo et le Bataclan. Le 3ème concert s’étant déroulé à la Boule Noire à 13H.
Arrivé au Bataclan pile à l’heure, je fus surpris de voir autant de monde à l’extérieur de la salle. Vu le marathon prévu par le groupe je m’attendais à un Timing serré. Des voitures aux vitres teintées arrivèrent et débarquèrent les horsemen devant l’entrée des artistes. L’entrée du public s’accelera et en quelques minutes, je me retrouvais dans cette salle où jamais je n’aurais penser voir un jour Metallica. Evidemment, pas de première partie, et alors que la salle était au trois quarts pleine, le célèbre « Extasy of gold » retentit, repris en coeur par la foule en délire. Metallica arriva sur scène (snif) et entama un titre emblématique « The four horsemen ». Tous les yeux étaient braqués vers Robert Trujillo, le digne successeur de Jason Newsted. En effet Metallica avait traversé des périodes difficles depuis S&M, outre la difficulté à trouver un nouveau bassiste, des conflits étaient nés au sein du groupe et James avait fini en cure de désintoxication. Le groupe avait failli spliter !!! Les trois compères étaient en pleine forme, Kirk égal à lui même pendant le solo du premier titre, Lars en osmose avec sa batterie et James chantant toujours avec envie l’un des premiers titres de Metallica. Quant à Robert, que j’avais eu l’occasion de voir avec Suicidal, il avait ammené son style avec lui : Tel un chat prêt à bondir, il tiraillait sa basse dans tous les sens. Metallica avait concocté une setlist uniquement composée de vieux titres: « No remorse », « Ride the lightning », « Lepper Messiah » de l’album « Master… » ou bien le terrible « Blackened » que je n’avais jamais vu jouer live. Ajoutez à tout ça, un titre plutôt rapide du dernier album, en l’occurence « Frantic » et le tour est joué. Metallica est de retour avec un son plus moderne et du sang neuf. Il est vrai que le son du dernier album ne sonne pas très Metallica mais j’ai l’impression qu’on se dit cela à chaque nouvel album et qu’au final, une fois que l’on a vu le groupe sur scène, il n’y a plus de doute à ce faire, Metallica restera Metallica.
Un rappel de deux morceaux concluera ce show d’un peu plus d’une heure : « Damage INC » et l’inévitable « Seek & Destroy » qui déchaîna le public. Une acclamation générale et réciproque termina ce concert au Bataclan. « See you at ten » nous lança Lars avant de se sauver en courant…
A 10H devant le Trabendo, l’ambiance était assez calme. Seul le brouhaba du Zénith qui accueillait Audioslave parvenait à mes oreilles. A peine remis du Bataclan, j’attendais avec impatience que les portes s’ouvrent. Le marché noir battait son plein, 150 € la place. Après 1 heure d’attente, on pu rentrer dans cette salle très particulière tout en espaliers. A l’intérieur pas d’alcool et slam interdit sous peine d’exclusion. Gloups !!! C’est vers 23H30 que le concert demarra. Je ne savais pas à quoi m’attendre au niveau de la setlist. Premier morceau « Blackened » (le deuxième de la soirée pour moi) me fit douter. J’étais très occupé à atteindre un endroit stratégique. Sur le premier espalier à deux mètres de la scène, cet endroit néanmoins, ne me permettait pas de voir Robert Trujillo. James parraissait fatigué au cours de ce premier morceaux et eu du mal à se remettre en jambe. C’était vraiment extraordinaire de voir Metallica dans ses conditions, même si j’ai senti le public un peu fatigué d’avoir attendu 2 heures. La setlist était un parcours dans la carrière du groupe avec un accent sur la deuxième partie de cette carrière longue de 22 ans maintenant : » Harvester of Sorrow », « Master of puppets », « One », « Enter Sandman » ou bien encore « Fuel » de « Re-load ». « St Anger » du dernier album fut joué au milieu du concert. James présenta Rob au public qui reçu une ovation. Le concert se fini en apothéose avec « Creeping Death » et le moins fréquent « Hit the Lights » et la promesse de Lars de revenir an Mars 2004 à Paris.
Metallica aime Paris et Paris le lui rend bien. Mes 5 concerts de Metallica à ce jour sont uniques, mais ces 2 là resteront gravés dans ma mémoire à jamais.
Bataclan
Setlist
Extasy of gold
The Four Horsemen
Leper Messiah
No Remorse
Fade To Black
Frantic
Ride The Lightning
Blackened
——–
Seek And Destroy
Damage INC
Photos
Trabendo
Setlist
Extasy of gold
Blackened
Fuel
Harvester of Sorrow
One
St Anger
Enter Sandman
Master of Puppets
——–
Creeping Death
Hit the Lights
Date : 23/01/2002 Lieu : Elysée Montmartre (PARIS)
Suite à un concert reporté en septembre 2001, Iced Earth débarquait à Paris pour un concert unique à l’Elysée Montmartre en ce début 2002. Si vous ne connaissez pas Iced Earth, ressortez votre vinyle de « Ride the lightning », dépoussiérez votre platine, et passez-vous le plusieurs fois, vous serez sur la voie. Iced Earth existe depuis une quinzaine d’année et est mené par Jon Schaffer, guitariste et compositeur d’une multitude de riffs et de mélodie qui ont fait la renommée d’Iced Earth.
J’arrivais alors que le show était déjà commencé. Iced Earth assurait l’intégralité du concert découpé en trois parties. Chaque partie représentant une période de la vie du groupe.
Tout d’abord le début de carrière, avec des morceaux tirés uniquement des 3 premiers albums : « Stormrider », « Angel holocaust » ou encore « When the nights fall » me rappelaient de très bons souvenirs. La foule était timide en ce début de concert et regardait, pour une grande partie, les prestations musicales de chaque membre du groupe. Matt Barlow, nous fit découvrir la variété de son chant assez exceptionnel et les autres musiciens sous ‘les ordres’ de Jon Schaffer se régalait à nous faire défiler le répertoire du groupe. Le décor représentait une sorte de muraille bleue ou plutôt des murs en bloc de glace (Iced Earth). Un petit pont qui passait derrière la batterie permettait aux membres du groupe de prendre un peu de hauteur et de recul.
Pour la deuxième partie le décor adopta un style égyptien avec des tableaux représentant des pharaons et des hiéroglyphes. La musique quant à elle était accès sur deux albums « Dark saga » et « Something wicked this way comes » avec des titres comme « Prophecy », « Stand alone », « The hunter », « 1776″ morceau instrumental ou bien « I died for you ». Matt Barlow eu du mal à reprendre la parole et le contrôle de la foule après « Watching over me ». En effet, le public chantait en cœur le refrain sans s’arrêter. Jon Schaffer et sa bande pris en route le morceau au rythme imposé par la salle. Moment Magique !!!
La troisième partie du concert était axée, aussi bien musicalement qu’au niveau du décor, sur le dernier album studio du groupe : « Horror show ». Ce concept album racontait des histoires de vampires et de créatures d’outre-tombe. Connaissant moins cet album, je découvris des morceaux tel que « Jeckyl & hide », « Dracula » et « Frankestein ». Le groupe effectua un rappel pour y jouer « My own savior », et quitta la scène avec acclamations réciproques.
Le public quitta la scène en fredonnant l’inévitable : « Oooh I know, Oooh I know, He’s watching over me… »
Première partie : POWERMAN 5000 + SATYRICON Date : 18/05/2000 Lieu : Zénith (PARIS)
Ayant raté leur passage deux ans plus tôt dans ce même zénith, j’attendais particulièrement le retour de PANTERA en France. Ce fût chose faite en ce mois de mai 2000 où le groupe concluait sa tournée européenne donnant suite à leur nouvel album « Reinventing the style », affligé de SATYRICON et de POWERMAN 5000.
J’arrivais ce soir là dans la fosse du zenith, au trois quart vide, où le set de SATYRICON avait déjà commencé. Un Death Metal dans la pure tradition. N’étant pas un adepte de ce style, j’écoutais sagement en attendant la suite. Phil Anselmo reveilla la foule en faisant quelques apparitions pendant la prestationde ces pôtes, « The new kings of death metal » selon lui. PANTERA vint au complet saluer ces futurs rois, en jammant sur un titre de SLAYER (« Angel of death » je crois).
M’ayant procurer le premier album de POWERMAN 5000 quelques semaines avant le concert, je m’était imprégné de leur style (un mélange KISS/SOAD), et ne fût pas surpris par leur musique, mais plutôt par leurs accoutrements (Star Trek avec les cheveux rouges). Le set dura 45 min et fût de bonne qualité, leur titres fards comme « Super nova goes pop » et « Tonight the stars revolt » mirent le feu au public. Une nouvelle apparition de PANTERA pour jammer sur un titre de VAN HALLEN « Ain’t talking ’bout love » l’attisa un peu plus.
Une fois tout ce bon monde sorti de la scène, tous le zenith, qui c’était rempli, attendait le retour de PANTERA. Le show commenca dans une folie générale avec « Yesterday don’t mean shoo » du dernier album. Tonitruant !!!
Ensuite PANTERA nous servi tous ces classiques « Becoming », « New level », « Walk », « Fucking hostile » biens sur ou encore « Cowboys from hell » agrémentés de quelques nouveautés « Hellbound », « You’ve got to belong to it ». Phil Anselmo nous gratifia de quelques speech en Anglais où 1 mot sur 3 devait être Fuck, Fucking, ou Fucker avec une bouteille à la main presque en permanance. Ces copains des autres groupes vinrent ouvrir un magnun de champagne sur scène pour arroser la fin de la tournée (et le public par la même occasion). Ils en profitèrent pour nous jouer « Cold Gin » de KISS.
La folie était montée sur scène et dans la tête de tous. Quel Cirque, mais quel Show !!!
Setlist
Yesterday don’t mean shoo
Walk
New Level
Hellbound
Goddamm electric
Becoming
Revolution
Mouth for war
I’m broken
Intro Cemetary Gates/Fucking hostile
This love
Primal concrete sledge
Domination/Hollow
Cowboys from hell
Première partie : SEPULTURA + SYSTEM OF A DOWN Date : 10/11/1998 Lieu : Zénith (PARIS)
Slayer et Sepultura. Quelle affiche en ce mois de novembre 1998 ! Deux monstres sacrés du trash. Ceux qui ont inventé le style au début des années 80, et ceux qui l’ont fait perdurer une décennie plus tard. Je m’installais au premier rang, un peu trop sur le côté à mon goût, et attendais que le spectacle commence.
Il y avait en ouverture du show, un groupe inconnu au bataillon, System Of A Down. Je compris rapidement qu’il n’allait pas le rester longtemps. Les membres du groupe avaient un look assez exubérant et jouaient une musique détonante. Le public fut du même avis que moi, et remua dans tous les sens au rythme de morceaux comme « War ? »ou « Sugar ». C’était la première fois qu’une première partie me fît une telle impression. Inutile de vous dire que je m’empressais d’acheter leur premier album quelques jours plus tard.
Sepultura entra en scène avec obligation de se donner à fond. La chose n’était pas évidente, car depuis leur dernier passage sur cette scène, Max Cavalera avait quitté le groupe et avait été remplacé par Derrick Green, un grand costaud noir américain. « Choke » du nouvel album, ouvrit le show. Ce morceau très puissant nous permis d’admirer le bel organe du remplaçant de Max au chant (uniquement, Derrick ne tenant pas de manche de guitare). Bizarrement c’est Andreas qui prenait la parole pour nous présenter les morceaux, retraçant le parcours du groupe : « Troops of doom », « Escape to the void », « Inner self », « Refuse/Resist » ou l’inévitable « Roots ». Le show fût excellent même si l’ombre de Max plana pendant une heure au-dessus de Paris ce soir là.
Au tour de Slayer, la tête d’affiche, de prendre la scène d’assaut. Le public était à point. Le groupe entra sur scène dans une épaisse brume artificielle, sous un brouhaha général. »Bitter Peace » et « Evil has no boundaries » démarrèrent le show à 200 à l’heure. J’avais un pris un peu de recul, pour mieux apprécier la puissance dégagée sur scène. Le public répondait au coup par coup : »War ensemble », « Rainning blood », « Die by sword ». Tom Araya défilait les morceaux de sa voix aiguë en tapant sur sa basse comme une batterie. Les deux guitaristes fidèles au poste, Kerry King et Jeff Hanneman, assuraient les riffs légendaires des années 80 : »Captor of sin », « Dead skin mask », « Chemical warfare ». Les extraits du dernier album « Diabolous In Musica » s’intégraient parfaitement parmi tous ces classiques. Le show se termina par l’incontournable »Angel of death »qui mit le feu au 19éme arrondissement tout entier.
Des shows comme celui-là, on en redemande.
Setlist
Bitter Peace
Evil Has No Boundaries
Hell Awaits
War Ensemble
Stain Of Mind
South Of Heaven
Raining Blood
Dittohead
Gemini
Die By The Sword
Captor Of Sin
In The Name Of God
Scrum
Dead Skin Mask
Seasons In The Abyss
Chemical Warfare
Mandatory Suicide
Angel Of Death
Première partie : ??? Date : 02/12/1996 Lieu : Zénith (PARIS)
Ayant vu de nombreuses images de KISS sur scène de la période 75/80 et m’étant repassé le ALIVE 2 jusqu’à en user les sillons, j’étais très enthousiaste lorsque j’ai appris que la formation d’origine du groupe ressortais sa trousse de maquillages et passais à Paris pour un soir, 10 jours après Sepultura.
Arrivé au milieu de la première partie, l’hotesse me mena à ma place numérotée où J’écoutais patiemment que ce groupe style Pearl Jam / Nirvana termine son oeuvre, assis sur mon stapontin.
Après l’entracte, lorsque les lumières s’eteignèrent, le public se leva d’un seul bond pour fixer ce drap blanc tendu au devant de la scène. Quand il tomba sous les premières notes de « Deuce », un vent de folie envahit le Zénith.
Ils étaient tous là comme je les imaginais. Gene et ses chaussures de Drag Queen, Paul et son oeil étolié, Ace et sa guitare flamboyante, et Peter planqué derrière sa batterie sans oublié le fameux logo du groupe clignotant comme un néon des années 70. En ne faisant aucune allusion à la période démaquillée, les grands standarts défilent sans temps mort, «Cold Gin», « Love Gun », « Caling Dr Love », « Watchin’ You » et bien sûr « I was made for loving you », le seul hit du groupe ayant réussi à traverser l’atlantique. Chaque membre du groupe eut droit à son moment intime avec le public. Ace Frehley tranformant sa guitare en lance fusée, Peter Criss chantant le fameux « Beth », Paul Stanley jetant des roses au public. Quand à Gene Simmons, après avoir vomis son sang, il fut élévé vers les cieux pour un « God of Thunder » mémorable.
Sous les « We want Kiss » de traditions, ils revinrent exécuter « Black Diamond » et « Detroy Rock City ».
Je savais à quoi m’attendre et je n’ai pas été déçu. Ca y est je l’avais eu mon concert de KISS au milieu des années 70.
Setlist
Deuce
King Of The Night Time World
Do You Love Me
Calling Dr Love
Cold Gin
Christine Sixteen
Love Gun
Shout It Out Loud
Watchin’ You
Firehouse
2,000 Man
Strutter
Shock Me
Rock Bottom
God Of Thunder
New York Groove
Let Me Go, Rock And Roll
Rock And Roll All Nite
Beth
Première partie : CORROSION OF CONFORMITY Date : 15/09/1996 Lieu : Bercy (PARIS)
Pour le premier concert métal de grande envergure de ma vie, ce fut Metallica (mon groupe préféré), qui eu l’occasion de m’apercevoir dans un Bercy rempli, en ce 15 septembre 1996. Après une première partie de bonne qualité, en l’occurrence Corrosion Of Conformity dont le hit ‘Clean My Wounds’ me fit remuer dans tous les sens, je vis et j’entendis James Hetfield hurler ‘So Ffuucking What’.
L’extase !!!
Les titres s’enchaînent les uns derrières les autres, alternant speed et tempo plus lent. Le groupe au complet exploite au maximum la double scène centrale reliée par une passerelle. Même Lars Ulrich passe d’une batterie à l’autre d’un coût de baguette magique. Quel chemin parcouru depuis 1983, lorsque l’on entend ‘Seek And Destroy’, ‘No Remorse’, ‘Creeping death’, ‘For whom the bell tols’,'Master of puppets’ ou bien encore ‘One’, ‘Whiplash’, ‘Enter sandman’,'Last caress’. L’album ‘Load’ fût bien représenté dans la première partie du show avec 5 titres dont, le très métallique ‘Wasting My Hate’.
Après une série de cascades et d’explosions , le groupe finit son show éclairé par quatre lanternes et un ‘Motorbreath’ de folie.
Ce soir là, en quittant le P.O.P.B, James, Jason, Kirk et Lars ne savaient pas qu’ils allaient attendre près de 3 ans avant de me revoir.
Setlist
The Memory Remains jam
So What!
Creeping Death
Sad But True
Ain’t My Bitch
Whiplash
Bleeding Me
King Nothing
One
Wasting My Hate
My Friend of Misery / Sanitarium jam
Nothing Else Matters
Until It Sleeps
For Whom the Bell Tolls
Wherever I May Roam
Fade to Black
Kill / Ride Medley
Ronnie jam
The Shortest Straw
Master of Puppets / Enter Sandman
Last Caress
