PBX

Première partie : SPINESHANK + KILGORE
Date : 12/12/1998
Lieu : Elysée-Montmartre (PARIS)

Suite à 2 très bons albums, dont le petit dernier « Obsolete », Fear Factory passait à Paris en cette fin d’année 1998.

Deux groupes ouvraient le bal. Tout d’abord KILGORE peu connu, jouant une musique très soutenue, qui réussi à faire bouger la salle. Ensuite entra en scène SPINESHANK, groupe plus renommé, grâce notamment au soutient apporté par Sepultura et Fear Factory. Excusez du peu !!!
Le groupe, très influencé par ces derniers, nous délivra un set très correct et très puissant, le chanteur, d’origine asiatique avait une voix aiguë qui contrastait avec les tempos lourds des morceaux. Parmi ceux-ci, je réussis à reconnaître une reprise de « While my guitar gently weeps » des Beatles.
Ce fût le tour de Fear Factory. La scène représentait l’idéologie du dernier album: colonnes vertébrales en plastique accrochées aux micros et à la batterie. Une vague envahit la salle dès les premières notes de « Shock » du dernier album. Les deux fortes personnalités du groupe ressortirent dès les premiers morceaux à savoir le chanteur Burton C. Bell à la voix exceptionnelle et l’imposant Dino Cazares assurant toutes les parties de guitare.
Les morceaux se combinaient à merveille : « Self bias resistor », « Edgecrusher », « Smasher/Devourer » (mon préféré) ou encore « Zero signal ». Le public bien échaudé par les 2 premiers groupes, était en extase. On reconnut les fans de la première époque lorsque Burton annonça « Martyr », un titre du premier album que je ne connaissais pas, très bon. Retour à l’album du succès « Demanufacture », dont les morceaux sont devenus des classiques du répertoire de Fear Factory: « New breed », « Dog day sunrise » ou encore « Replica ».

Le show dura environ 80 minutes, et me prouva que Fear Factory était aussi bon sur scène qu’en studio.

Photos

Première partie : SEPULTURA + SYSTEM OF A DOWN
Date : 10/11/1998
Lieu : Zénith (PARIS)

Slayer et Sepultura. Quelle affiche en ce mois de novembre 1998 ! Deux monstres sacrés du trash. Ceux qui ont inventé le style au début des années 80, et ceux qui l’ont fait perdurer une décennie plus tard. Je m’installais au premier rang, un peu trop sur le côté à mon goût, et attendais que le spectacle commence.

Il y avait en ouverture du show, un groupe inconnu au bataillon, System Of A Down. Je compris rapidement qu’il n’allait pas le rester longtemps. Les membres du groupe avaient un look assez exubérant et jouaient une musique détonante. Le public fut du même avis que moi, et remua dans tous les sens au rythme de morceaux comme « War ? »ou « Sugar ». C’était la première fois qu’une première partie me fît une telle impression. Inutile de vous dire que je m’empressais d’acheter leur premier album quelques jours plus tard.
Sepultura entra en scène avec obligation de se donner à fond. La chose n’était pas évidente, car depuis leur dernier passage sur cette scène, Max Cavalera avait quitté le groupe et avait été remplacé par Derrick Green, un grand costaud noir américain. « Choke » du nouvel album, ouvrit le show. Ce morceau très puissant nous permis d’admirer le bel organe du remplaçant de Max au chant (uniquement, Derrick ne tenant pas de manche de guitare). Bizarrement c’est Andreas qui prenait la parole pour nous présenter les morceaux, retraçant le parcours du groupe : « Troops of doom », « Escape to the void », « Inner self », « Refuse/Resist » ou l’inévitable « Roots ». Le show fût excellent même si l’ombre de Max plana pendant une heure au-dessus de Paris ce soir là.
Au tour de Slayer, la tête d’affiche, de prendre la scène d’assaut. Le public était à point. Le groupe entra sur scène dans une épaisse brume artificielle, sous un brouhaha général. »Bitter Peace » et « Evil has no boundaries » démarrèrent le show à 200 à l’heure. J’avais un pris un peu de recul, pour mieux apprécier la puissance dégagée sur scène. Le public répondait au coup par coup : »War ensemble », « Rainning blood », « Die by sword ». Tom Araya défilait les morceaux de sa voix aiguë en tapant sur sa basse comme une batterie. Les deux guitaristes fidèles au poste, Kerry King et Jeff Hanneman, assuraient les riffs légendaires des années 80 : »Captor of sin », « Dead skin mask », « Chemical warfare ». Les extraits du dernier album « Diabolous In Musica » s’intégraient parfaitement parmi tous ces classiques. Le show se termina par l’incontournable »Angel of death »qui mit le feu au 19éme arrondissement tout entier.

Des shows comme celui-là, on en redemande.

Setlist
Bitter Peace
Evil Has No Boundaries
Hell Awaits
War Ensemble
Stain Of Mind
South Of Heaven
Raining Blood
Dittohead
Gemini
Die By The Sword
Captor Of Sin
In The Name Of God
Scrum
Dead Skin Mask
Seasons In The Abyss
Chemical Warfare
Mandatory Suicide
Angel Of Death

Photos

Slayer

Sepultura

System Of A Down

Première partie : HELLOWEEN + DIRTY DEEDS
Date : 12/05/1998
Lieu : Zénith (PARIS)

Tout le monde connait Iron Maiden. Peut être plus grâce aux pochettes du ténébreux Eddy qu’à sa musique. Depuis le départ de Bruce Dickinson, Maiden en était à son deuxième album en compagnie de Blaize Bailey, au chant. Cette tournée de 1998, suite à la sortie de « Virtuel XI », faisait halte au zénith (baisse de popularité à cette époque) ce soir de mai.

Dirty Deeds, les poulains de Steve Harris, ouvrirent le bal, avec un heavy assez classique qui ne me fit ni chaud, ni froid. Ensuite Helloween entra en scène en Guest-Star. Son succès de la fin des années 80 était bien loin, Michël Kiske aussi d’ailleurs. Quelques morceaux ravivèrent la flamme comme « A Little Time », « Future World », « Dr Stein » ou « I Wan’t Out ». Bref une prestation correcte avec la magie en moins, celle du passé.
Maiden, attendu avec impatience, entra sur scène, en commençant par « Futureal » du dernier album. Maiden longtemps accroché dans ma chambre était devant moi. Steve Harris se donna à fond dès les premières notes grattées sur sa basse longiligne. Les morceaux défilèrent comme les années « Iron Maiden », « Hallowed be thy name » (mon préféré), « The trooper », « Aces high », « The evil that men do ». Blaize Bailey assurait le chant, quoiqu’on est pu en dire, de façon très correcte. Il était très concentré, et de ce fait, plutôt statique. Janick Gers, Dave Murray et Nico McBrain restaient égaux à eux même en assurant le tempo pendant près de deux heures. Les deux guitaristes se partagaient les solos à merveille. On retrouva tous les participants du show sur « Heaven can wait » et ses fameux « Oh, Oh, Oh… ».
Le groupe termina par d’autres classiques tel « Running free » ou « The number of the beast » et conclu un show de bonne qualité.

Mais comme pour Helloween, la magie n’était pas là.

Photos

Première partie : ???
Date : 18/01/1998
Lieu : Elysée Montmartre (PARIS)

Suicidal Tendencies effectuait une tournée en France suite à la sortie de son album intitulé « Friends & Family ». Cet album marquait le retour en force du groupe, même si la formation avait quelque peu changé. Mike Muir et sa bande faisaient halte à l’Élysée Montmartre en ce soir de janvier 1998, dans une salle comble. Je m’accrochais solidement au premier rang et n’allais pas le regretter.

En effet après une première partie, qui n’est pas restée gravée dans ma mémoire, Suicidal entra sur scène sous les traditionnels ‘ST, ST…’. « War Inside my Head » nous explosa en pleine face, et nous fit comprendre que le show allait être grandiose. Le groupe avait eu beaucoup de succès en France à la fin des années 80 avec notamment les albums « How Will I Laugh Tommorrow… » et « Lights, Camera, Revolution ». Ce dernier fût le plus représenté avec  » Lost Again « ,  » Lovely  » ou l’inévitable  » Send me your money « .
Mike Muir ne pouvait s’empêcher de se tapir comme un chat et de courrir, en évitant les autres membres du groupe, en long et en large de la scène, le tout en enchaînant les tubes du groupe « Trip at the Brain », « Join the Army », « I saw Your Momy » ou « I’ll hate You Better ». Le nouveau guitariste fût présenté à la foule ainsi qu’un nouveau titre « We are Family ».
Le show très haletant se termina par une tape de Mike Muir qui salua tout le premier rang.

Suicidal était de retour.

Photos

Première partie : KICKBACK + ENTOMBED + ???
Date : 04/12/1997
Lieu : Zénith (PARIS)

A l’affiche de cette soirée de décembre 1997, 4 groupes très Trash avec en tête Machine Head maître de cérémonie.

Passons le premier groupe dont j’ai peu de souvenirs, j’étais trop préoccupé à atteindre le premier rang.Ensuite Entombed envahi la scène. Connaissant ce groupe que de réputation, je découvris leur musique, leur popularité assez rapidement. Un chant rythmé, en phase avec la musique très speed et haché, faisait un cocktail détonnant auquel le public répondit dès les premières mesures. Après une prestation d’environ 40 minutes, je pensais déjà à me procurer quelques albums d’Entombed.
Ce fut au tour de Kickback. Un groupe français totalement inconnu, (du moins par moi) issue de la Seine Saint Denis, qui jouait un death metal très surprenant, avec un chant très aigu. Après une heure de show, le management de Machine Head eu du mal à arrêter le petit de groupe de chez nous, tout rentra dans l’ordre après un ultime morceau.
Le public était à point pour accueillir Machine head. Fort du succès de ces deux premiers albums, le groupe entra sur scène dans un nuage de fumée , devant une foule conquise d’avance. Le premier titre de « The more thing changes… », en l’occurrence « Ten ton Hammer » inaugura le show. Le groupe alternait les morceaux deux leurs deux albums avec merveille. Solidement accroché au premier rang, j’assistai au show dans les meilleures conditions. Le public sauta d’un bond dès les premières notes de « Davidian » issu du premier album, et ne pu s’arrêter.

Après une 1H15, le groupe se retira acclamé par la salle entière. « Le son » machine head était gravé dans ma mémoire, même si quelques mois plus tard Logan Mader quittait le groupe pour rejoindre Soulfly.

Photos

Première partie : ???
Date : 01/07/1997
Lieu : Bataclan (PARIS)

Alice Cooper, l’un des fondateurs du Hard Rock à la réputation très Gore dans les années 70, à près de 50 ans, passait deux soirs de suite au Bataclan. Petite salle très sympa, moins en longueur que l’Elysée Montmartre mais aussi conviviale, j’étais assez content de m’installer au premier rang pour voir Alice au pays des cimetières.

Un groupe qui jouait un style Techno/hard rock ouvrait le show. Mais tout le monde était là pour Alice qui fit une entrée sur les chapeaux de roues sous les premières notes de « Under My Wheels ».
Pour cette tournée, qui coïncidait avec la sortie d’un album live « A fistful of alice », on eu droit à la visite de tous les époques du répertoire d’Alice. A commencer par les années 70, avec des titres comme « Desperado », « I’m Eighteen », « Gutter cats VS. The Jets » ou encore « School’s out ». Pour les années 80, Alice nous remémora les classiques que sont devenus « Freedom », « Poison » ou « Welcome To My Nightmare ». Enfin les années 90 avec notamment « Lost In America » issue de « The Last Temptation ». Alice s’était équipé de musiciens peu connus mais dévoués à la musique qu’ils jouaient.

Evidemment en plus de tous ses tubes, Alice nous fit son show, dans le style qui fit sa réputation au cours de ces 25 ans de carrière. Je profitais de l’occasion d’être au premier rang pour lui toucher la main (le gant !!!), afin de vérifier que c’était bien lui. On pouvais lire sur son visage toutes ces années dévoués au Hard Rock.

Peut-être qu’Alice ne repassera jamais à Paris, mais tous ceux qui étais dans la salle ce soir là, se souviendront.

Date : 27/06/1997
Lieu : Elysée Montmartre (PARIS)

A l’occasion de la tournée qui suivait la sortie de « Crypting Writing », Megadeth fit halte à l’Elysée Montmartre de Paris. Je m’étais empressé d’acheter ma place vue la réputation du groupe et la capacité de la salle. Salle d’ailleurs que j’inaugurais pour la première fois, et qui reste assez déconcertante avec ces moulures au plafond (style musée ou théâtre ancien) et son bar en vis à vis de la scène.

Sans laisser la peine à un autre groupe d’ouvrir le show, Megadeth entra en scène dans la cohue et l’hystérie générale, en entonnant « Trust » premier morceau du dernier album. Ils enchaînèrent avec l’inévitable « Peace sells » qui me fit éjecter du quatrième rang (atteint péniblement) au quinzième sans demander quoi que ce soit. Megadeth fit dérouler son répertoire fort de ses six albums studio : « Holy wars », « In My darkest hour », « Symphony of destruction ». Les titres du dernier album s’intégraient parfaitement dans ce répertoire : « Almost Honest », « Use the man », « A secret place ».
Un grand moment d’émotion envahit la salle (et la scène j’espère !!!) pour le titre « A tout le monde », dont le refrain en partie en français était repris à pleins poumons par la salle entière.
En rappel le groupe nous gratifia d’ « Anarchy in th UK » des Sex Pistols, devenu un standard de Megadeth.

La foule quitta la salle, alors que la nuit n’était pas tombée, surexcité par ce show qui résonnait dans la tête de tous.

Photos

Première partie : 3 Colors Red
Date : 11/06/1997
Lieu : Bercy (PARIS)

Aerosmith, un des groupes mythiques des années 70 , passait à Bercy après la sortie de leur excellent album « Nine Lives ».

Kula Shaker ayant déclaré forfait pour la première partie, ce fut 3 COLORS RED qui eût la lourde tâche d’ouvrir le show. Jouant un heavy metal assez classique, le groupe réussit à réveiller le public en reprenant « Anarchy In The UK » des sex pistols.

Bercy était à point lorsque les lumières s’éteignirent. A travers le drap blanc hissé devant la scène, on aperçu une ombre chinoise géante de Steven Tyler, muni de son chapeau légendaire, tenant son micro à pleine main et miaulant comme un chat prêt à bondir. Le public sursauta lorsque le rideau tomba et que les premières notes de « Nine lives » résonnèrent dans la salle comble. Le groupe n’avait rien perdu de sa vigueur malgré les années passées. Il exploitait au maximum la scène jonchée de serpents empaillés et éclairée dans les tons rose/mauve/jaune pastel. Le show en lui-même fut très varié. Des moments calmes, « Cryin’ », « Janie’s got a gun », des moments nostalgiques, « Mama Kin », « Sweet emotion », « Back in the saddle », des moments plus heavy, « Rag doll », « Love in a elevator » ou alors « Eat the rich ». Joe Perry pris le micro, comme il l’avait fait sur les deux derniers albums, pour interpréter « Walk on down ». Le dernier album fut bien représenté avec notamment des titres dans le pur style du groupe comme « Hard on my knees », « Pink » ou encore « Hole in my soul ».

On eut droit à l’inévitable « Walk This Way » en rappel, qui conclu un show mémorable.

Setlist
Nine Lives
Love in an Elevator
Falling in Love
Same Old Song And Dance
Hole in my Soul
Monkey On My Back
Livin’ on the Edge
Pink
Rag Doll
Taste of India
Janie’s Got a Gun
Stop Messin’ Around
Something’s Gotta Give
Toys In The Attic
Full Circle
Dream On
Cryin’
Sweet Emotion
Mama Kin

Fallin’ Off
Dude (Looks Like A Lady)
Walk This Way

Photos

Première partie : FOU
Date : 18/01/1997
Lieu : Zénith (PARIS)

Ayant été assez surpris, dans le bon sens, par l’album « Europe et Haines » de TRUST, j’avais décidé d’honnorer le zentih par ma présence ce soir de janvier 97.

Après une première partie de moyenne qualité, en l’occurence le groupe français Fou, Bernie, Nono et les deux petits nouveaux prirent la scène d’assault. Les titres s’enchainent, alternant, tubes des années 80 et morceaux du dernier album. Tous les classiques sont revisités: « Fatalité », « Préfabriqués », « Police Milice » ou encore « Mr comdie ».
Les quatres musiciens jouaient leur rôles à la perfection. Une rythmique solide composée de David Jacob à la basse et Nirox John à la batterie fraichement arrivé au sein de Trust. De l’irremplacable Nono, faisant profiter au public de toute ses qualités de guitariste, et bien sur de Bernie tutoyant, comme à son habitude, le public. Il le nargua d’ailleurs, en prétendant que le public de Marseille, quelques jours plus tôt, faisant trois fois plus de bruit que le zenith au complet.
Le show se termina par un Antisocial d’environ 15 min, ou le public s’en donna à coeur joie en chantant les paroles ressassées comme une récitation scolaire.

En resumé, un concert de bonne qualité pour les papy du hard rock Français.

Photos

Première partie : ???
Date : 02/12/1996
Lieu : Zénith (PARIS)

Ayant vu de nombreuses images de KISS sur scène de la période 75/80 et m’étant repassé le ALIVE 2 jusqu’à en user les sillons, j’étais très enthousiaste lorsque j’ai appris que la formation d’origine du groupe ressortais sa trousse de maquillages et passais à Paris pour un soir, 10 jours après Sepultura.
Arrivé au milieu de la première partie, l’hotesse me mena à ma place numérotée où J’écoutais patiemment que ce groupe style Pearl Jam / Nirvana termine son oeuvre, assis sur mon stapontin.

Après l’entracte, lorsque les lumières s’eteignèrent, le public se leva d’un seul bond pour fixer ce drap blanc tendu au devant de la scène. Quand il tomba sous les premières notes de « Deuce », un vent de folie envahit le Zénith.
Ils étaient tous là comme je les imaginais. Gene et ses chaussures de Drag Queen, Paul et son oeil étolié, Ace et sa guitare flamboyante, et Peter planqué derrière sa batterie sans oublié le fameux logo du groupe clignotant comme un néon des années 70. En ne faisant aucune allusion à la période démaquillée, les grands standarts défilent sans temps mort, «Cold Gin», « Love Gun », « Caling Dr Love », « Watchin’ You » et bien sûr « I was made for loving you », le seul hit du groupe ayant réussi à traverser l’atlantique. Chaque membre du groupe eut droit à son moment intime avec le public. Ace Frehley tranformant sa guitare en lance fusée, Peter Criss chantant le fameux « Beth », Paul Stanley jetant des roses au public. Quand à Gene Simmons, après avoir vomis son sang, il fut élévé vers les cieux pour un « God of Thunder » mémorable.
Sous les « We want Kiss » de traditions, ils revinrent exécuter « Black Diamond » et « Detroy Rock City ».

Je savais à quoi m’attendre et je n’ai pas été déçu. Ca y est je l’avais eu mon concert de KISS au milieu des années 70.

Setlist
Deuce
King Of The Night Time World
Do You Love Me
Calling Dr Love
Cold Gin
Christine Sixteen
Love Gun
Shout It Out Loud
Watchin’ You
Firehouse
2,000 Man
Strutter
Shock Me
Rock Bottom
God Of Thunder
New York Groove
Let Me Go, Rock And Roll
Rock And Roll All Nite
Beth

Detroit Rock City
Black Diamond

Photos